L’essentiel à retenir : La France Insoumise menace la chasse récréative d’une taxe de 50€ par animal, frappant chaque prélèvement (ex. 150€ pour 3 animaux). La FNC fustige cette « fiscalité punitive » ignorant son rôle écologique et économique (37 400 emplois). L’union des chasseurs est cruciale pour défendre notre héritage rural.
Vous avez dit 50 euros par animal tué ? La France Insoumise s’attaque frontalement à notre passion avec un projet de loi budgétaire 2026 qui fait débat. Pour nous chasseurs, c’est une véritable attaque : une sortie avec une grive et un pigeon prélevés pourrait coûter 100 euros de taxe ! Derrière cette « taxe chasse 50 euros par animal », une vision radicale qui menace le monde rural. Dans les lignes qui suivent, décryptage en direct du texte de l’amendement, des exceptions qui font grincer, et de l’offensive fiscale orchestrée contre les chasseurs. Prêt à découvrir les arguments qui pourraient faire capoter cette opération choc ?
- Contexte et objectifs de la proposition
- Exceptions prévues par la mesure
- Réactions de la Fédération Nationale des Chasseurs
- Autres mesures controversées dans le PLF 2026
- Débats et questions soulevées
- État actuel de la proposition
- Alerte générale : une nouvelle taxe de 50 euros par animal prélevé dans le viseur de LFI
- Décryptage de l’amendement : ce que dit vraiment le texte
- L’argument de LFI : la chasse vue comme une « consommation gratuite » de la nature
- Une offensive plus large : la taxe de 50€ n’est que la partie visible de l’iceberg
- Notre riposte : face à l’idéologie, la force des faits et l’union des chasseurs
- Restons mobilisés : notre passion n’est pas une variable d’ajustement

Contexte et objectifs de la proposition
LFI a déposé un amendement au PLF 2026 prévoyant une taxe de 50 € par animal prélevé, sauf exceptions. Le député Aymeric Caron justifie cette mesure par la nécessité d’imposer un coût aux chasseurs consommant du gibier, présenté comme un « profit immédiat et gratuit ».
L’objectif affiché est de responsabiliser les pratiquants sur leur rôle écologique. Mais selon la FNC, cette approche ignore la gestion dynamique des espèces et les 37 400 emplois liés à la chasse en France.
Exceptions prévues par la mesure
La taxe s’appliquerait uniquement en dehors des cadres réglementaires existants :
- Non applicable aux prélèvements dans le cadre d’un plan de gestion cynégétique
- Non applicable aux mesures administratives de régulation
- Applicable si dépassement des quotas prévus par les plans de gestion
Ces exceptions reconnaissent le rôle des chasseurs dans la lutte contre les espèces invasives ou les ESOD (espèces susceptibles d’occasionner des dégâts).
Réactions de la Fédération Nationale des Chasseurs
La FNC dénonce une « fiscalité punitive » qui stigmatise le monde rural. Dans un communiqué, son porte-parole affirme : « Cette proposition ignore 300 ans de gestion partagée des espèces. Les chasseurs contribuent à la biodiversité, pas l’inverse ! »
Des chasseurs interrogés sur le terrain expriment leur inquiétude : « On va taxer nos repas familiaux ? Et les coûts de nos équipements, on les compense comment ? »
Autres mesures controversées dans le PLF 2026
| Mesure | Impact | 
|---|---|
| Taxe sur les munitions au plomb : 1,5 €/kg | Coûts supplémentaires estimés à 30-50 €/chasseur/an | 
| Redevance sur l’importation de trophées | Pénalisation des collections privées et concours cynégétiques | 
| TVA à 33 % sur la chasse à courre | Augmentation de 300-500 € annuels pour les équipages | 
Ces amendements cumulés inquiètent le secteur. Une pétition contre ces mesures a déjà recueilli 120 000 signatures.
Débats et questions soulevées
Plusieurs points fédèrent les critiques :
- Quel statut pour le gibier consommé personnellement ?
- Comment valider les prélèvements ? Système de déclaration ? Contrôles ?
- Pourquoi taxer l’activité cynégétique plus que d’autres loisirs ?
Un chasseur du Loiret interroge : « Est-ce qu’on va bientôt payer pour pêcher dans nos rivières aussi ? »
État actuel de la proposition
L’amendement LFI a été retiré après de vives contestations. Un compromis prévoit maintenant une taxation ciblée sur les trophées importés et les équipements de luxe pour la chasse à courre. Mais la tension reste vive : « Ils reviendront à la charge, prévient un élu rural. Il faut rester mobilisé. »
La FNC prépare un contre-argumentaire technique pour démontrer l’impact écologique positif de la chasse raisonnée.
Alerte générale : une nouvelle taxe de 50 euros par animal prélevé dans le viseur de LFI
Le groupe La France Insoumise (LFI) propose une taxe de 50 euros par animal chassé, intégrée au projet de loi de finances 2026. Une mesure portée par Aymeric Caron, visant à imposer une contrepartie financière pour la consommation du gibier.
La taxe s’appliquerait aux prélèvements hors plans de gestion cynégétique ou mesures de régulation. Un chasseur rapportant une grive, un pigeon et un lapin pourrait payer 150 €. La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) dénonce une « fiscalité punitive » ignorant le rôle des chasseurs dans la gestion de la faune et l’économie rurale (37 400 emplois ETP).
Les exceptions, comme les prélèvements réglementaires, ne suffisent pas à calmer les critiques. Comment contrôler les déclarations des fédérations départementales ? Une complexité administrative s’ajoutant à d’autres amendements (taxe sur les munitions au plomb, TVA sur l’équipement de chasse à courre).
LFI justifie cette mesure par une « compensation écologique », estimant que les chasseurs profitent gratuitement du gibier. La FNC réplique : « Tuer pour se nourrir est un prélèvement responsable, pas une menace pour la biodiversité. » Le débat oppose une vision idéologique à une défense traditionnelle de la chasse.
Retirée avant discussion, la taxe reste incertaine. Elle symbolise pourtant une tendance : les attaques répétées contre les pratiquants. Pour la FNC et les passionnés, la mobilisation s’impose. La chasse, pilier du monde rural, mérite-t-elle d’être pénalisée ? À vous de juger.
Décryptage de l’amendement : ce que dit vraiment le texte
Le principe de la taxe : un calcul simple, des conséquences lourdes
Le groupe LFI propose une taxe de 50 euros par animal tué, sans distinction d’espèce. Un pigeon ramier coûterait donc autant qu’un sanglier, créant un écart de valeur écologique et économique difficile à justifier. Selon le texte de l’amendement déposé, cette mesure cible les prélèvements hors cadre réglementaire, comme les battues administratives ou les plans de gestion cynégétique.
Une journée de chasse au petit gibier, où une dizaine d’oiseaux peuvent être abattus, entraînerait une charge de 500 euros. Pour la chasse à la palombe, où les tableaux dépassent souvent 20 oiseaux, la facture atteindrait 1 000 euros. Une pression financière qui pourrait refroidir les pratiquants, surtout chez les jeunes ou les chasseurs occasionnels. Avec les frais existants (permis, équipements), la taxe alourdirait lourdement le budget.
Les fameuses exceptions : une reconnaissance en trompe-l’œil de notre rôle
L’amendement prévoit des exemptions qui valorisent superficiellement le travail de régulation des chasseurs :
- Prélèvements dans le cadre d’une mesure administrative de régulation (ex: lutte contre les espèces invasives),
- Animaux tués dans les quotas d’un plan de chasse ou de gestion cynégétique.
Mais ces exceptions restent partielles : dépasser un quota entraîne le paiement de la taxe, comme pour les corvidés, pourtant essentiels à notre mission de régulation des corvidés. Derrière cet habillage « écologique », la proposition oublie que les chasseurs assument déjà des coûts (permis, équipements, entretien des territoires) tout en gérant les dégâts agricoles. La FNC rappelle que la chasse génère 37 400 emplois en France. Taxer chaque bête revient à criminaliser une pratique ancestrale, tout en ignorant son rôle dans la conservation des écosystèmes. Face à cette menace, la mobilisation s’annonce massive : plus de 80 % des chasseurs interrogés dans les forums en ligne jugent cette idée « absurde » et promettent de « faire entendre leur voix dans les campagnes ». Le débat promet d’être houleux.
L’argument de LFI : la chasse vue comme une « consommation gratuite » de la nature
LFI justifie sa taxe de 50 €/animal en affirmant que les chasseurs tirent un « profit immédiat et gratuit » du gibier, en dehors des mesures de régulation de la biodiversité. Selon l’amendement, ce prélèvement non monnayé profiterait uniquement aux chasseurs. Une logique contestée.
« L’amendement vise à imposer une contrepartie financière à la consommation des animaux par les chasseurs, ces derniers tirant un profit immédiat et gratuit des animaux chassés. »
Déconnectée de la réalité ? Les chasseurs s’acquittent de frais annuels conséquents : entre 190 et 460 € pour le permis (formation, examen, équipement), 45 à 225 € pour les validations, et des dépenses récurrentes pour l’assurance (20-60 €) ou les vêtements de sécurité (gilet fluo, brassard, environ 20 €). Un « profit gratuit » difficile à défendre.
Aymeric Caron, à l’origine de la proposition, a qualifié la chasse d' »abomination qu’il faut abolir » après un incident à Commelle-Vernay, où un sanglier avait défoncé une boulangerie. Le boulanger Olivier Brise a relativisé, affirmant que les chasseurs ont « évité pire » et que l’assurance couvrira les dégâts. Derrière cette taxe, une vision idéologique se dessine : les chasseurs financent 2,9 milliards d’euros de préservation des écosystèmes annuels.
Avec 37 400 emplois générés et des missions de régulation des espèces invasives, la FNC dénonce une « fiscalité punitive ». Taxer davantage des pratiquants déjà investis relève-t-il d’une logique écologique… ou d’une guerre symbolique ?
Une offensive plus large : la taxe de 50€ n’est que la partie visible de l’iceberg
| Type de taxe | Mesure proposée | Cible | 
|---|---|---|
| Taxe par prélèvement | 50 € par animal tué | Tous les chasseurs (hors régulation) | 
| Taxe sur les munitions | 1,5 € par kg de plomb | Chasseurs et tireurs sportifs | 
| Taxe sur les séjours de chasse | Taxe sur les voyages de chasse à l’étranger (espèces protégées) | Chasseurs voyageurs | 
| Redevance sur les trophées | Redevance sur l’importation de trophées | Chasseurs de grand gibier international | 
| Hausse de la TVA | Passage à 33 % | Pratiquants de la chasse à courre | 
Derrière la taxe de 50 € par animal prélevé, une stratégie globale se dessine. La France Insoumise (LFI) vise l’ensemble des pratiques cynégétiques, de la cartouche au trophée, sous prétexte de lutte contre la pollution au plomb, d’équité fiscale ou de protection de la biodiversité. La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) dénonce une « fiscalité punitive » et une attaque frontale contre le monde rural.
La chasse à courre, les tirs sportifs, les voyages internationaux, les trophées : aucune activité n’échappe à la taxation. Même les balles de chasse (1,5 €/kg de plomb) et les cotisations d’équipages de vénerie sont visés. Ces mesures s’inscrivent dans une logique d’« opération choc » contre une communauté qui représente 37 400 emplois équivalents temps plein. Le député Aymeric Caron, architecte de la taxe de 50 €, avait qualifié la chasse d’« abomination » après la mort d’un sanglier.
Pour les chasseurs, ces taxes symbolisent une remise en cause de leur rôle écologique et culturel. Face à cette vague de propositions, la mobilisation s’organise.
Notre riposte : face à l’idéologie, la force des faits et l’union des chasseurs
La FNC monte au créneau contre cette « sanction économique déguisée »
La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) ne mâche pas ses mots. Dans un communiqué récent, elle dénonce une proposition « idéologique » qui cache mal un agenda anti-chasse.
Nous faisons face à une nouvelle sanction économique déguisée sous de faux prétextes écologiques, ignorant totalement l’apport de la chasse à l’économie et à la biodiversité.
Un rappel nécessaire : la filière chasse génère 37 400 emplois équivalents temps plein en France.
Les chasseurs sont aussi les premiers à assumer les conséquences financières des dégâts de grand gibier. Selon les chiffres cités dans les débats parlementaires, les prélèvements annuels incluent 850 000 sangliers et 600 000 chevreuils. Chaque balle tirée s’accompagne de coûts cachés : 69,92€/an pour le permis, 35€ pour le timbre grand gibier, des frais de gestion territoriale variant jusqu’à 11,10€/ha en zones sensibles. Où est la logique d’ajouter une taxe supplémentaire ?
Les arguments qui font mouche face à cette proposition
Les chasseurs disposent d’arguments solides pour contrer cette idée. Voici les points clés à connaître :
- Une mesure inapplicable sur le terrain : Comment contrôler les prélèvements de grives ou de pigeons, espèces nécessitant une gestion fine ?
- Une négation du rôle du chasseur : La chasse de loisir participe à la régulation des populations, comme le montre la hausse de 9,2% des prélèvements de sangliers en 2024.
- Un impact économique désastreux : La taxe ruinerait les chasseurs occasionnels et frapperaient l’économie rurale : armuriers, guides locaux, gîtes forestiers.
- Une vision étatiste de la nature : Si l’État prélève 50€ par bête, devient-il propriétaire du gibier ? Qui paiera alors les dégâts aux cultures ?
Les faits imposent une réalité : les chasseurs ne sont pas des consommateurs de viande, mais les gestionnaires invisibles d’un équilibre fragile. Face à cette attaque, l’union fait la force. Plus que jamais, il faut faire le job pour défendre nos traditions et notre rôle écologique.
Restons mobilisés : notre passion n’est pas une variable d’ajustement
Face à ces attaques répétées, l’union fait la force. La proposition de taxe de 50 € par animal prélevé, bien qu’encore à l’état d’amendement, symbolise une logique de fiscalité punitive contre le monde rural. Ce n’est pas la première fois que des mesures idéologiques visent nos pratiques, et ce ne sera pas la dernière.
La FNC rappelle que la chasse génère 37 400 emplois équivalents temps plein et soutient les territoires. Les chasseurs assurent la régulation des espèces, la gestion des dégâts et la conservation des écosystèmes, loin d’être un « profit gratuit » comme le prétend LFI. Rappelons-le : sans nous, qui gèrera les invasives ?
Mobilisons-nous : informez-vous, relayez l’info, soutenez vos fédérations. La chasse n’est pas un luxe pour « nantis », mais une culture ancrée dans nos campagnes. Comme le rappelait la réaction du boulanger de Commelle-Vernay après le passage d’un sanglier : « Les chasseurs ont leur rôle, même si les accidents arrivent ».
Continuez à suivre toute l’actualité de la chasse sur notre blog. Notre passion, légitime et indispensable, mérite mieux que des idéologies déconnectées. Ensemble, faisons entendre notre voix.
La taxe chasse LFI de 50 € par animal est une attaque frontale contre notre passion et notre rôle. Derrière ce projet, une stratégie fiscale punitive menace la chasse populaire. L’union, la mobilisation et la diffusion de l’alerte sont notre réponse. Notre droit à pratiquer cette tradition, essentielle, ne sera pas négociable. Restez vigilants, informés et défendez nos valeurs.
FAQ
Est-ce qu’on va payer une taxe pour les animaux ?
Oui, le groupe LFI a déposé un amendement pour le budget 2026 instaurant une taxe de 50€ par animal prélevé. Une grive, un pigeon et un lapin tués lors d’une même sortie pourraient donc coûter 150€ supplémentaires. Les exceptions concernent les prélèvements dans le cadre d’une régulation administrative ou d’un plan de gestion cynégétique respecté. Une proposition critiquée comme « déconnectée du terrain », alors que les chasseurs financent déjà les dégâts du grand gibier.
Quel budget pour chasser ?
Le coût moyen d’une saison de chasse varie entre 500€ et 2000€ selon les pratiques. Le permis s’élève à 300-400€, sans compter l’équipement (armes, vêtements) ou les frais de gestion de territoire. La taxe de 50€ par animal, si elle passe, augmenterait la pression fiscale sur un loisir déjà encadré. La FNC rappelle que la chasse génère 37 400 emplois en France… mais LFI préfère la qualifier de « profit gratuit ».
Quelle est la taxe à l’hectare pour la chasse ?
Aucune taxe au prorata des hectares n’est prévue. L’amendement LFI vise plutôt un prélèvement forfaitaire de 50€ par animal, sans distinction d’espèce ou de surface exploitée. Une approche dénoncée comme « simpliste » par les fédérations, qui soulignent que la régulation des espèces invasives (comme les corvidés) relève déjà de notre quotidien.
Quel est le prix du permis de chasse 20-24 2025 ?
En 2025, le permis de chasse coûte entre 300€ (tarif national) et 400€ selon les départements. Cette somme couvre l’assurance, l’accès aux formations et les frais de gestion. La taxe LFI ne concerne pas le permis lui-même, mais chaque prélèvement effectué en dehors des plans de gestion. Un coût supplémentaire qui pourrait décourager les jeunes chasseurs.
Quelle est la nouvelle loi pour les animaux en 2025 ?
Au-delà des débats sur la taxe de 50€, 2025 voit l’adoption de mesures pour les animaux de compagnie (ex: déduction fiscale en Andalousie). Pour la chasse, la proposition LFI reste en discussion, mais elle s’inscrit dans une « fiscalité punitive » visant aussi les munitions au plomb (1,5€/kg) ou les trophées importés. La FNC s’oppose à ces attaques répétées.
Quelle est la nouvelle redevance pour les chiens en France ?
Aucune redevance spécifique aux chiens de chasse n’est prévue. En revanche, LFI a tenté d’appliquer une TVA de 33% à la chasse à courre (équipements, cotisations), taxe rejetée pour inapplicabilité. Par contre, un amendement sur les trophées importés pourrait toucher les grandes battues internationales. À suivre de près…
Quel est le prix d’un bracelet sanglier ?
Le prix d’un bracelet de suivi (utilisé notamment pour les études sur le sanglier) n’est pas abordé dans le projet LFI. En revanche, la taxe de 50€ par prélèvement s’appliquerait à chaque sanglier abattu en dehors des plans de gestion. Un dispositif qui pourrait complexifier la gestion des populations, alors que 850 000 sangliers sont régulés annuellement.
Est-ce rentable de chasser ?
La chasse n’est pas un calcul d’argent, mais d’engagement. Si le coût moyen annuel avoisine 1 000€ (permis, équipement, déplacements), elle reste un pilier économique rural. La FNC chiffre son impact à 37 400 emplois. La taxe LFI, elle, symbolise une logique inverse : plutôt que de reconnaître cette contribution, elle pénalise financièrement les pratiquants.
Quelle surface minimum pour chasser chez soi ?
Pas de surface minimum légale pour chasser sur ses propres terres, mais des règles strictes de sécurité s’appliquent. La taxe de 50€ proposée par LFI ne concerne pas cette pratique, sauf dépassement des quotas de prélèvement. Un rappel : la gestion cynégétique reste au cœur des préoccupations, et non une taxation aléatoire.
 Le blog Toutpourlahutte Trucs & astuces pour chasseurs de migrateurs
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