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Conseil d’État valide la chasse de 9 espèces : victoire pour chasseurs

L’essentiel à retenir : Le Conseil d’État valide le maintien de la chasse de 9 migrateurs sous un cadre strict. Grâce aux PMA (ex: 25 oiseaux/nuit de hutte) et à ChassAdapt, cette décision renforce une gestion durable, déjouant les recours de la LPO et One Voice. Une victoire du bon sens pour une chasse responsable et durable.

Le conseil d’état chasse oiseaux migrateurs a tranché le 2 octobre 2025 : la chasse reste autorisée malgré les pressions de la LPO et One Voice. Ces associations espéraient bloquer l’arrêté du 27 août, mais le juge a rejeté leur demande, jugeant qu’aucune urgence ne justifiait une suspension. Derrière ce combat juridique, c’est toute la crédibilité de notre pratique qui était en jeu. Découvrez comment les PMA (25 oiseaux par nuit de hutte, 15 par chasseur/jour) et l’appli ChassAdapt transforment nos sorties en outils de gestion scientifique. Une victoire du bon sens, selon la FNC, qui appelle à rester vigilant : la guerre contre nos traditions n’est pas finie.

  1. Victoire pour la chasse : le conseil d’état maintient la chasse de 9 espèces de migrateurs
  2. Décryptage juridique : pourquoi le juge a dit non à la suspension
  3. Un nouveau cadre de chasse validé : PMA et ChassAdapt, les clés de la victoire
  4. La réaction de la FNC : « une victoire du bon sens »
  5. Et maintenant ? La vigilance reste de mise
  6. Notre responsabilité : faire de cette saison un exemple

Victoire pour la chasse : le conseil d’état maintient la chasse de 9 espèces de migrateurs

Chasseurs en action avec un chien et un fusil, symbolisant la victoire juridique

Le Conseil d’État a rejeté le 2 octobre 2025 la demande de suspension d’urgence de la chasse à 9 espèces d’oiseaux migrateurs. Une défaite cinglante pour la LPO et One Voice, dont les recours visant à bloquer la saison 2025 ont été écartés. Le juge des référés a jugé l’urgence inexistante, validant le cadre réglementaire récent.

  • Rejet des recours des associations anti-chasse malgré leur mobilisation.
  • Maintien de l’arrêté du 27 août 2025 pour une chasse encadrée.
  • Validation du modèle PMA (Prélèvements Maximums Autorisés) et ChassAdapt.
  • Pas de suspension : la saison se poursuit sans interruption.

La décision valide une chasse encadrée par la science : 9 espèces comme la sarcelle d’hiver ou le canard pilet restent accessibles sous strict contrôle numérique. « Une victoire du bon sens » pour Willy Schraen (FNC), qui critique les « procédures abusives » des ONG.

Les chasseurs doivent respecter les PMA (ex. 25 oiseaux par nuit de hutte) et déclarer chaque prélèvement via ChassAdapt. Un QR code sécurise les données. D’autres dossiers attendent leur verdict, mais cette décision renforce la légitimité d’une chasse durable. Sur le terrain, le message est clair : la chasse responsable a sa place.

Illustration du rejet du référé-suspension par le Conseil d'État

Décryptage juridique : pourquoi le juge a dit non à la suspension

Le Conseil d’État a rejeté la demande de suspension urgente déposée par One Voice et la LPO contre la chasse de neuf espèces migratrices. Une validation du cadre réglementaire 2025-2026, basé sur les Prélèvements Maximums Autorisés (PMA) et le suivi via l’application ChassAdapt.

Pour obtenir un référé-suspension, les associations devaient justifier d’une urgence et d’un doute sérieux sur la légalité de l’arrêté. Le juge a balayé la demande, estimant qu’aucune urgence ne justifiait une suspension immédiate.

« Le juge des référés a balayé la demande des associations animalistes, estimant qu’il n’y avait aucune urgence à suspendre un cadre réglementaire solide et basé sur des données scientifiques. »

Cette absence d’urgence a suffi à faire tomber le dossier. Le juge n’a pas eu à se prononcer sur le doute légal. Un revers pour les ONG, régulièrement actives sur ces sujets.

La FNC salue cette victoire du bon sens. Le système PMA, calibré sur des avis scientifiques, garantit une gestion responsable. Le Canard siffleur, classé « vulnérable », reste chassable dans des limites strictes (15 oiseaux/jour).

Pour le Fuligule milouin, le quota national s’élève à 5 000 prélèvements. Les chasseurs bretons s’imposent des plafonds plus bas dans certaines zones.

ChassAdapt renforce la transparence via des déclarations obligatoires générant des QR codes. Un système perfectible, mais décisif dans la décision du Conseil d’État. Comme le souligne Willy Schraen : « Ce n’est qu’une étape vers une chasse durable. »

Cadre de chasse durable avec PMA et ChassAdapt

Un nouveau cadre de chasse validé : PMA et ChassAdapt, les clés de la victoire

La victoire des chasseurs devant le Conseil d’État n’est pas une surprise. Elle s’ancre dans un dispositif innovant et rigoureux, mêlant science et traçabilité. Exit les approximations, place à une chasse raisonnée !

Prélèvements Maximums Autorisés : Des chiffres arrêtés par la science

Les PMA marquent un tournant. Pour la première fois, des quotas nationaux encadrent strictement la chasse de 9 espèces. Les chiffres parlent clair : 25 oiseaux maximum par nuit de hutte, 15 prises par chasseur et par jour. Rien n’est laissé au hasard. Ces limites, basées sur l’état des populations, garantissent la pérennité des espèces tout en préservant la tradition.

ChassAdapt : Le suivi en temps réel qui change la donne

L’application ChassAdapt est devenue incontournable. Obligatoire pour ces espèces, elle transforme chaque chasseur en acteur de la gestion. Après chaque prise, une déclaration génère un QR code sécurisé. Ce suivi en temps réel des prélèvements est rendu possible grâce à l’application ChassAdapt, dont l’utilisation est désormais obligatoire pour ces espèces.

  • Transparence totale : chaque prélèvement est enregistré et comptabilisé.
  • Gestion adaptative : si un quota national est proche d’être atteint, la chasse peut être suspendue.
  • Responsabilisation des chasseurs : chaque acteur participe activement à la gestion des espèces.
  • Base scientifique : les quotas sont définis à partir de l’état des populations, un gage de durabilité.

Derrière ces outils se cache une philosophie : la chasse moderne s’adapte, évolue, mais ne renonce pas à ses racines. Les chasseurs, souvent accusés de résister au changement, montrent ici leur capacité à innover pour préserver l’équilibre entre tradition et écologie. La décision du Conseil d’État valide ce modèle, rejetant l’idée d’une réglementation improvisée.

La saison 2025-2026 sera donc un test grandeur nature. Le défi ? Faire vivre ce cadre rigoureux, jour après jour, sans dérapage. La chasse raisonnée a gagné une bataille – mais la guerre pour sa légitimité reste ouverte.

Les 9 espèces de migrateurs dont la chasse est maintenue
Caille des blés
Canard pilet
Canard siffleur
Canard souchet
Fuligule milouin
Fuligule morillon
Grive mauvis
Sarcelle d’été
Sarcelle d’hiver

Derrière cette décision du Conseil d’État, ce sont 9 espèces d’oiseaux migrateurs qui restent chassables sous un cadre strict. La liste précise ? Caille des blés, canard pilet, canard siffleur, canard souchet, fuligule milouin, fuligule morillon, grive mauvis, sarcelle d’été et sarcelle d’hiver. Des noms familiers pour les chasseurs, mais qui nécessitent un suivi rigoureux.

Pourquoi ces espèces ? Parce qu’elles font partie des populations suffisamment stables pour autoriser un prélèvement encadré. Un état des lieux précis des populations d’oiseaux chassables permet d’ajuster les quotas chaque année. Sans ces données scientifiques, pas de chasse durable possible.

Les PMA (Prélèvements Maximums Autorisés) fixent des limites claires : 15 oiseaux par chasseur et par jour en battue, 25 maximum par nuit de hutte. Ces chiffres ne sortent pas d’un chapeau : ils s’appuient sur des études scientifiques et des comptages réguliers. La transparence est assurée via l’application ChassAdapt, où chaque prélèvement se déclare immédiatement.

Les chasseurs savent que cette gestion raisonnée protège l’avenir de la pratique. Le Conseil d’État a validé ce système, rejetant les recours d’associations opposées à la chasse. Pourquoi ? Parce que la réglementation actuelle garantit la pérennité des espèces tout en préservant les traditions cynégétiques.

La réaction de la FNC : « une victoire du bon sens »

La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) célèbre le rejet par le Conseil d’État, le 2 octobre 2025, de la suspension de la chasse de neuf espèces migratrices. Willy Schraen, son président, qualifie cela de

« victoire du bon sens et de la chasse éthique. Une reconnaissance de notre gestion durable, ancrée dans la science »

.

Les Prélèvements Maximums Autorisés (PMA), supervisés par ChassAdapt, garantissent un suivi strict. Ces quotas nationaux (ex : 25 oiseaux par nuit de hutte) et le suivi en temps réel via QR codes assurant la transparence. Pour la FNC, c’est la preuve qu’une chasse responsable est possible, malgré les attaques des anti-chasse.

Les associations One Voice et LPO sont accusées de mener un « combat idéologique ». Le Conseil d’État a rejeté leur recours, jugeant l’urgence injustifiée. La FNC dénonce leur vision éloignée des réalités, opposant des « technos hors-sol » à des gestionnaires pragmatiques.

La FNC remercie la Ministre de la Transition écologique pour son soutien, marquant une alliance stratégique. « Cette décision valide notre travail sur le terrain », affirme Schraen, appelant à l’unité face à d’autres défis juridiques. Une victoire, mais le combat continue.

Et maintenant ? La vigilance reste de mise

La décision du Conseil d’État du 2 octobre 2025, rejetant les recours en référé-suspension des associations One Voice et LPO, n’est qu’une étape. Ce n’est pas un arrêt sur le fond, mais un simple refus d’urgence. La bataille juridique continue. Le dossier complet sera tranché ultérieurement, laissant planer une incertitude.

Autre front ouvert : la chasse de la palombe aux filets. La Commission européenne a saisi la Cour de justice de l’UE, contestant la légalité de cette pratique traditionnelle. Willy Schraen, président de la FNC, affirme que la France défendra cette méthode patrimoniale, soulignant la croissance exponentielle des populations de palombes (25,9 millions en Europe en 2024). Une victoire ici prouverait que la chasse raisonnée est compatible avec la conservation.

Les chasseurs doivent rester mobilisés. L’application ChassAdapt, obligatoire pour le suivi des prélèvements, est un outil clé. Mais seuls un tiers des utilisateurs l’adoptent encore. « L’union fait la force », martèle la FNC : la rigueur dans les déclarations et la solidarité face aux attaques sont vitales. Car derrière chaque procédure, c’est l’avenir de la chasse française qui se joue. Le combat continue.

Notre responsabilité : faire de cette saison un exemple

La victoire du bon sens est une étape, pas une finalité. C’est maintenant à nous, chasseurs, de prouver sur le terrain que la gestion adaptative fonctionne. ChassAdapt, avec ses déclarations en temps réel et QR codes, est notre levier de crédibilité. Chaque prélèvement compte.

Les Prélèvements Maximums Autorisés (PMA) ne sont pas des suggestions. Respecter les limites (25 oiseaux par nuit de hutte, 15 par chasseur/jour) est impératif. Un dépassement, même involontaire, justifierait de nouvelles attaques. « Il faut faire le job ! » L’application est gratuite, simple, et indispensable.

Cette saison est un test. Restez sous les quotas, déclarez chaque prélèvement : c’est ainsi que nous préserverons nos traditions. La FNC a défendu cette réforme bec et ongles – ne la laissons pas se retourner contre nous. La chasse raisonnée exige rigueur.

Mesdames, messieurs, soyons unis. Exemplaires jusqu’au dernier prélèvement. Montrons-leur une chasse passionnée, responsable, durable. La balle est dans notre camp.

La décision du Conseil d’État soulage les chasseurs. Elle valide un cadre moderne (science, transparence via ChassAdapt). Mais vigilance reste de mise face aux attaques répétées. Pratique irréprochable prouve coexistence possible avec préservation. Union, rigueur, responsabilité défendront la chasse de demain !

FAQ

La décision du Conseil d’État signifie-t-elle que la chasse est définitivement validée ?

La réponse est non, mais c’est une victoire cruciale ! Le Conseil d’État a rejeté la demande de suspension d’urgence, ce qui permet de maintenir la chasse dès cette saison. Cependant, cette décision concerne uniquement la procédure d’urgence (référé-suspension), et non le fond du dossier. Le combat juridique continue, mais cette étape montre que notre mobilisation paie. Les associations anti-chasse, comme la LPO et One Voice, devront désormais se confronter au fond de l’arrêté devant le Conseil d’État. Pour nous, chasseurs, c’est l’occasion de prouver sur le terrain que la gestion adaptative (via les PMA et ChassAdapt) est une réussite.

Les PMA et ChassAdapt, c’est du sérieux ou juste de la poudre aux yeux ?

Du sérieux, et du solide ! Les Prélèvements Maximums Autorisés (PMA) sont calculés sur des bases scientifiques incontestables, avec des quotas comme 15 oiseaux par chasseur et par jour. Et ce n’est pas du vent : l’application ChassAdapt rend tout ça transparent. Chaque prélèvement est enregistré en temps réel, avec un QR code généré pour chaque déclaration. C’est un système de suivi ultra-réactif : si un quota approche, la chasse est suspendue. La FNC insiste, à juste titre, sur le fait que ce dispositif est une preuve de notre engagement pour une chasse durable. Pas besoin de discours, les chiffres parlent : transparence, responsabilité, efficacité. On ne peut plus se cacher derrière l’excuse du « on verra plus tard » !

Quelles sont exactement les 9 espèces concernées par cette décision ?

Celles-ci sont : la caille des blés, le canard pilet, le canard siffleur, le canard souchet, le fuligule milouin, le fuligule morillon, la grive mauvis, la sarcelle d’été et la sarcelle d’hiver. Ces espèces, souvent présentes sur nos terrains de chasse, bénéficient désormais d’un cadre précis. Les PMA s’appliquent strictement, avec 25 oiseaux max par nuit de hutte et 15 par chasseur et par jour. C’est clair, c’est contrôlé, et surtout, c’est durable. Cette liste n’est pas arbitraire : elle repose sur un état des lieux des populations d’oiseaux chassables, un outil indispensable pour défendre nos pratiques face aux critiques.

La FNC se félicite de cette décision, mais est-ce vraiment une victoire pour tous les chasseurs ?

Oui, et même plus encore ! Willy Schraen, président de la FNC, n’a pas mâché ses mots : c’est une « victoire du bon sens et de la chasse éthique et raisonnée« . Pourquoi ? Parce que cette décision valide notre capacité à défendre une chasse moderne, basée sur la science et non sur des caprices. La FNC accuse même les associations animalistes de mener un combat idéologique, ignorant les données objectives. Et ce n’est pas anodin : la Ministre de la Transition écologique a soutenu ce cadre, renforçant l’alliance entre chasseurs et pouvoir public. Pour nous, c’est un message clair : notre manière de gérer les espèces est légitime. L’union fait la force, et ici, elle a payé !

Et maintenant, faut-il craindre d’autres attaques juridiques contre la chasse ?

Oui, la vigilance reste de mise. Le Conseil d’État a statué sur l’urgence, mais le fond du dossier reste à juger. Et ce n’est pas la seule bataille en cours : l’attaque contre la chasse à la palombe aux filets est un exemple concret. Les anti-chasse n’hésitent pas à multiplier les recours, souvent en s’appuyant sur des arguments idéologiques plutôt que scientifiques. Mais notre force, c’est notre unité et notre rigueur. Il faut faire le job sur le terrain, respecter à la lettre les PMA et ChassAdapt, et montrer que la chasse raisonnée est possible. Comme le rappelle la FNC, « cette reconnaissance valide le travail que nous menons sur le terrain ». Ne laissons aucun espace à ceux qui veulent nous interdire de pratiquer. L’avenir de la chasse dépend de notre exemplarité de notre exemplarité !

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